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Publié Juin 2018, (màj Mars 2019) par : yoruk |
39 59 57 N 015 25 30 E
Approche
Sur la côte tyrrhénienne méridionale, de Vibo Valentia au Golfe de Policastro, sur 80 milles de côte inhospitalière, on ne trouvera qu’un seul port : Cetraro, dont l’entrée peut être scabreuse par mauvais temps d’ouest. Cala Infreshi, une très belle baie au SW de golfe de Policastro, permettra d’attendre dans de bonnes conditions météorologiques.
Réparations ; entretien et services
Clearance
Général
La zone protégée « Parco nazionale del Cilento e Vallo di Diano ». Détermine les conditions de navigation et de mouillage. 3 zones
Mouillage
Sur une information de Lysigee
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Ports proches
Passé la Punta Iscoletti, on quitte l’ambiance de la Campanie, pour trouver les cadres rustiques de Calabre et de la Basilicate. peu atteints par le touriste de masse, l’arrière pays mérite que l’on lui consacre du temps. Malheureusement, pour nos bateaux, peu de ports.
Dans cette ambiance, la baie "cala degli Infreschi est un joyau. Bien sûr dans la journée, les bateaux de promenade de Camerota l’envahissent, mais le soir, tout le monde rentre au parking, et la baie vous appartient. Le cadre est sévère et austère, truffé de nombreuses grottes à découvrir, à la fraîche
L’origine du nom “Infreshi” est obscure et méconnue des italiens. Il s’agit probablement d’une contraction en dialecte local de deux mots : “sorgenti” (sources) et “freschi” (frais). Une recherche sur Google donne cette explication :
Histoire et culture
Selon l’explication la plus accréditée, formulée par Giacomo Racioppi, le nom de Maratea descend du grec marathus, c’est-à-dire fenouil sauvage. Le nom de la ville signifierait « terre du fenouil sauvage ». Suivant une autre hypothèse, Maratea dériverait du maris latin et du grec theia, c’est-à-dire « déesse de la mer ».
Maratea est la perle du Golfe de Policastro. Habité depuis le Paléolithique, au 15èmsiècles av. J.-C., le premier village apparait, fait de cabanes, sur le promontoire Capo la Timpa, au nord de l’actuel Porte. Le village vit du commerce maritime avec les îles Éoliennes et les autres zones environnantes. Au 6em siècle av. J.-C. le village produit des briques et importe de la vaisselle. Le commerce continua jusqu’à la l’Espagne et à l’Afrique.
Peuple libre de marins, Maratea n’eut jamais de seigneur féodal, et elle fut toujours libre de s’administrer seule. Malheureusement, au début du xxe siècle, l’économie de Maratea ne fut plus apte à nourrir tous ses habitants, et nombreux furent contraints à émigrer en Amérique.
s/y Laorana juin 2018