Turquie, Mer de Marmara-Est, Kalamis/Fenerbahçe
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Imray-Rod-Heikell / Turquie/Mer de Marmara/Kalamis-Fenerbahçe
Guide imray en français
Guide Imray en anglais pour la Mer Noire
Guide Imray, en anglais, pour la Turquie et Chypre
Mises à jour Imray en anglais
- Tous les feux de la côte turque sont équipés de balises AtoN (transpondeurs AIS)
- L’accès aux données NAVTEX par le web, comporte des risques, ceux de la qualité de la connexion 3G ou wifi… La sécurité est bien sûr d’y accéder par un récepteur NAVTEX dédié… mais vous serez limité à ce seul usage
Kalamis
- On peut trouver un peu de place, en mouillage forain dans la baie au nord des passes.
Fenrbahçe
- Ambiance plus décontractée, axée voile. Beaucoup de régatiers, équipés de voiliers performants
Ambiance
- Le groupe de marinas, bien qu’encore en Mer de Marmara, est totalement immergé d’ans l’ambiance stambouliote. Il y a beaucoup d’argent à Istanbul, et il y a peu de marina... Ça se ressent.
- crédit photo : Setur Marina Kalamis
Clearance
- En principe, rien ici, il faut aller de l’autre côté du Bosphore sur Karaköy, équipé pour recevoir des paquebots et leurs 3.000 passagers
- Il faudra escalader un quai rugueux de 2 m de hauts, et selon toute vraisemblance, on vous jettera de pierres en vous disant : dégages miséreux, on attend un ferry...
- Bien que ne l’ayant pas expérimenté, je suis persuadé que les autorités de Kalamis/Fenerbahçe, trouveront une solution à votre problème, vraisemblablement une agence en douane, et ça vous coutera bombons...
- si vous venez de Mer Egée, il faudra anticiper ces problèmes, soit à Ayvalik, soit à Canakkale, où les autorités sont devenues conciliantes (2012)
- si vous venez de Mer Noire, depuis la Roumanie, la Bulgarie ou l’Ukraine, vous n’aurez pas d’autres solutions, qu’un arrêt à Istanbul, sauf à sauter l’étape, et à gagner directement Cannakale, quitte à revenir, en règle visiter Istanbul.
Général
- Tout le confort, toutes les facilités d’une grande marina moderne, ici, mais... l’impression désagréable d’être dans un autre monde, et certainement pas celui raffiné de l’ancien empire ottoman... pour çà , il faut aller à Istanbul et laisser le bateau quelque part... ici, par exemple !!!
- Avec Atakoy, situé, en face sur la rive européenne, c’est aussi une solution pour récupérer des équipiers, atterrissant à l’aéroport pincipal : Ataturk airport.
- Ce sera plus facile, si ces équipiers débarquent dans le deuxième aéroport : Sabiha Gökçen, tout proche. Mais là ce sera encore plus facile depuis Pendik, situé à 5 km de l’aéroport...
Michel, Laorana, janvier 2014