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Chargeur A to B Sterling : le vieux mythe ... pourquoi les diodes grailleraient-elles 9 juin 2013 13:42, par yvesDL’interrogation ne porte que sur les diodes (pas 10 balles, 1500 FRF en 2003, chez Volvo, certes)
Si un fusible saute, cela fusille le pont de diode de l’alternateur, il y en a pour 10 balles ...
C’était très précisément mon interrogation initiale. Pourquoi un alternateur tournant dans le vide verrait-il ses diodes de sortie soumises à quelque chose d’excessif ? et accessoirement, ça brule en combien de temps ?
Sauf si je me trompe ( ) les diodes sont en parallèle/dérivation avec les enroulements du stator-secondaire et puisque reliées à rien (fusible de sortie grillé), aucun courant ne peut circuler et endommager les diodes de puissance par effet thermique.
Bien sur ces enroulements du rotor coupent toujours le flux électro-magnétique induit par le rotor-primaire (généré par l’excitation), le courant étant nul (infime) dans le secondaire c’est la tension qui va s’élever. Si elle s’élève au dessus de la tension de claquage (5000 V ?) : clac ? serait-ce celà l’origine du vieux mythe ?
Mais la tension du rotor peut-elle s’élever si haut que ça : le régulateur interne à l’alternateur ne coupe-t-il pas l’excitation si la tension des 3 mini-diodes de demie-alternance (celles qui ’alimentent) s’élève trop au dessus de ses 13,8V « réglementaires et poussifs »
Pour l’instant je vais toujours installer mon détecteur de fusible coupé (led clignotante plus buzzer et action urgente stipulée)
un maillon faible bien calibré et en un endroit bien défini et créant une panne bien connue et circonscrite.
Ah oui, celle là je vais l’ajouter à ma liste de règles bien comprises de moi-même