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Pour une batterie AGM, éviter de sulfater de manière irréversible 12 mai 2016 23:32, par AntonioMerci pour l’apport d’éléments utiles.
Peut-être pas chaque soir.
C’est d’ailleurs tout l’objet de la recherche d’un minimum d’autonomie electrique.
Mais retour au port dès que la nécessité de recharcher s’impose. (Dès que la décharge a atteint son seuil, sans parler du plaisir d’une bonne douche)..
Donc plus grandes les économies d’électricité, plus grande l’autonomie. On continue d’utiliser les petites lampes de navigation à pile, la lampe frontale ou le plafonnier led à pile pour lire, et ne réserver la batterie que pour le pilote (en solo il faut bien lâcher la barre pour aller à la table à carte, regarder le livre des feux, préparer une boisson chaude, un repas ou se reposer), le sondeur, le routeur...
Mais ces nécessités ne représentent que quelques heures par jour et ne consommeront pas ce qui avait servi de base de calcul prévu large (12h de conso). Sauf si la destination est un port avec douche et électricité, on peut alors quitter une retraite tranquille pour une nav plus longue sans se fatiguer en usant longuement du pilote...
Mais il y a peut-être des alternatives au portique en or massif pour supporter un panneau solaire : un mât de planche à voile peut porter un panneau vertcalement ( mais fardage, et moindre rendement solaire ). Ou bien un portique peut être fabriqué en bambou pour un coût proche de zéro ( j’en ai beaucoup de beaux au jardin ). Bien séchés il peuvent aussi être enduits de toile de verre et résine, peinture, ça reste très économique...
Cette dernière solution, relance la possibilité d’un projet évolutif en repoussant à plus tard l’achat du panneau sans la dépense de la structure 3 à 4 fois plus chère que le générateur.
Avec le temps et les possibilités de dépense, l’autonomie augmente à coût maîtrisé.