Pratiques et Techniques en Plaisance | Imprimer | Fermer la fenêtre
De la lecture pour les soirées d’hiver 27 février 2013 10:15, par yoruk“La différence de poids va jouer indirectement par la facilité d’enfouissement et la tenue à la rupture ou déformation de l’ancre elle-même.”
Un autre élément intéressant, le poids intervient aussi pour la descente de l’ancre (en chaîne folle). Je m’en suis nettement rendu compte en passant de ma Delta 16 kg (qui gît toujours ancrée dans les Dardanelles, victime de mon record du monde de mouillage par 107 m de fond !!!) à une 20 kg.
La plus légère avait tendance à planer en descendant. La Delta 20 kg descend très vite et permet en particulier de mieux viser le sable. Son poids doit aussi améliorer la plantée…
Pour en revenir au document de Francis, et aux observations judicieuses de Robert (peut-il en être autrement ???). Bien sûr il n’est pas question de mettre en comparaison un maillon de 50, sur ma chaîne et ceux de 950 dont il est question dans le document. Ce qui parait évident, c’est le souci méticuleux du choix des moyens et des instruments de mesures. Ce n’est pas applicable directement à nos besoins, mais, indirectement, on voit bien que notre limite est la connaissance des fonds sur lesquels nous mouillerons… Ce qui nous amène obligatoirement à des choix empiriques, privilégiant la facilité d’utilisation… exemple pour la longueur de mouillage : avec un bon guindeau on ne compte pas… Ce qui sera valable ici en méditerranée orientale, où l’on mouille avec deux bouts à terre, et là on peut… et on doit mouiller long… mais qui n’aura aucun sens en Bretagne sud, dans un mouillage à marée avec renverse des courants…
Pour en finir, la conclusion de A Fraysse ( qui a beaucoup repris de travaux du manuel Stevpris) sur les apparaux de mouillage :
After-anchoring ’ti punch ingredients (Guadeloupe )
Michel