Il suffit de récupérer le numéro d’un satellite haut sur l’horizon sur un autre GPS.

Il s’agit de récupérer l’almanach émis pas un satellite, ce qui peut prendre du temps. Si ça doit prendre du temps il vaut mieux alors prendre un satellite montant et bas sur l’horizon, histoire d’augmenter la durée pendant laquelle il est en vue. S’assurer de l’absence d’obstruction pendant toute l’acquisition
Remarque : même très bas n’est pas génant pour cette acquisition car la traversée de la longue couche athmosphérique aura une incidence sur les pseudo-distances mais par sur le contenu du message (l’almanach) lui-même. Par contre pour faire un point lat/LONG on préfère bas (meilleure précision) mais pas trop (incidence de la quantité de vapeur d’eau dans l’atmosphère sur la vitesse de propagation et donc sur la précision de la pseudo-distance). Pour déterminer précisément une altitude on préfèrera un satellite au zénith.

Les programmes qui permettent de calculer/visualiser les satellites, y compris les satellites GPS, sont nombreux sur le net, à trouver par gogol.
Et ils permettront de comparer la réalité (satellites réellement en vue) avec ce que le 5500 imagine (« satellite overview, page 2 du pdf, après un »master reset« bien sur), quite à choisir le bon candidat en éliminant les autres ( »to manually exclude a satellite ...")
Dans ton cas précis, y a-t-il concordance avec la réalité ?

Il y a un vrai problème pour récupérer les données initiales (almanach) lorsque absolument tout a été perdu. Les récepteurs anciens pouvaient y arriver en largement plus de 30 minutes, et imposaient parfois d’indiquer une position (lat/LONG) estimée. Les « 12000 canaux » modernes avec cette folle puissance de calcul pour l’identification de l’émetteur (bon, c’est juste un déconvoluteur hardware, mais 12000 en //) mais les très anciens n’avaient pas ça dans leur silicium et il fallait tenter à la mano avec chacun des 28 polynomes (28 satellites) et des 512 positions (polynomes de 512 bits)