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Accueil du site > Forum technique > Electronique, instruments -forum- > Bus NMEA/Seatalk > SeaTalk en détail

Rubrique : Bus NMEA/Seatalk

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SeaTalk en détailVersion imprimable de cet article Version imprimable

Publié Mai 2015, (màj Mai 2015) par : yvesD   

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Le bus SeaTalk a été développé par Raymarine (alors Autohelm, je crois) pour permettre à ses instruments de communiquer entre eux.
A la différence du NMEA 183 c’est un vrai bus dans lequel chaque partenaire peut écouter et aussi parler, un peu comme l’éthernet d’origine (celui de Robert Metcalfe, vers 1982) sur coaxial jaune.
Ca peut intéresser des geek de savoir comment ça fonctionne sous le capot.

Résumé rapide :
L’idée brillante des concepteurs à été de faire comme de l’éthernet (un vrai bus, avec compétition pour acquérir le bus et collision) mais en utilisant des composants vraiment pas cher de l’époque, tout simplement un UART : le composant qui gère les communications séries des PC et al. UART = Universal Asynchronous Receiver Transmiiter.
L’interconnexion se fait avec un bus à 3 fils dont deux portent l’alim (POS et GND), le 3ème est un fil unique sur lequel tout le monde parle et écoute et s’écoute parler.

Ce bus est propriété de Raymarine qui ne le documente pas mais on trouve dans la nature des geek qui ont dépatouillé la tripaille, dontThomas Knauf et son site de référence http://www.thomasknauf.de/seatalk.htm

UP


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10 Messages de forum

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  • 4 mai 2015 21:56, par yvesD écrire     UP Animateur

    en PJ, le pdf qui regroupe les 4 pages du site http://www.thomasknauf.de/seatalk.htm
    A archiver et lire localement.
    Tout y est dit.

    Répondre à ce message

  • 4 mai 2015 21:58, par yvesD écrire     UP Animateur

    http://www.plaisance-pratique.com/P... rappelle qu’un simple domino (ou plusieurs dominos distribués dans le bateau) fait l’affaire. Très bon marché.

    Répondre à ce message

  • 9 mars 2016 20:48, par Shrubb écrire     UP  image

    Bonjour,
    Je cherche des expériences d’installation de 2 pilotes Raymarine sur un réseau Seatalk NG, l’un des deux étant évidemment en secours.
    Mon installation actuelle comprend un SPX30 avec capteur d’angle et fluxgate, un afficheur ST6002 et en option un P70. Le tout commande une pompe T2 et est relié au réseau Seatalk NG (dont un MFD e7).
    J’aimerais ajouter un Evolution avec calculateur ACU400 et capteur EV1, qui deviendrait le pilote principal, le SPX30 restant en pilote de secours.
    Il semble que tout ce petit monde soit compatible avec le réseau Seatalk NG,mais peut-on brancher tout ça ensemble ? (en prenant soin de ne mettre en service qu’un pilote à la fois !)
    Mon installateur sèche et Raymarine ne sait qu’envoyer les notices, donc je serais heureux de lire des expériences vécues.
    Merci.

    Répondre à ce message

    • 11 mars 2016 10:01, par DOUG LE écrire     UP     Ce message répond à ...  image

      « (en prenant soin de ne mettre en service qu’un pilote à la fois !) »

      J’avais un SPX 30 et un 7000 de secours, chacun avec son pupitre, branchés en // sur un moteur rotatif T2. Par erreur, j’ai allumé le SPX 30 alors que le 7000 n’était pas éteint.
      Depuis je n’ai plus que le SPX 30 ... Le 7000 a immédiatement rendu l’âme (je ne sais si c’est le pupitre ou le calculateur qui a déclaré forfait).
      Peut-être aurait-il fallu mettre un inter d’alimentation à bascule...

      Répondre à ce message

      • C’est effectivement ballot d’avoir à cramer un pilote pour gérer les conflits.
        Bien sur un inverseur, ça existe à monter sur un rail DIN (même format qu’un disjoncteur), propre.
        Quid d’un fusible correctement dimensionné et qui cramerai (ou disjoncterai) dès l’apparition d’une mésentente entre les deux pilotes activés, par erreur, simultanément (en mer si une connerie est invraisemblable, elle a déjà été faire, si elle est impossible, elle sera faite)

        La solution du disjoncteur est attrayante mais un disjoncteur suffisamment ric-rac pour ne pas laisser à la pompe ou à l’électronique le temps de chauffer/bruler ne risque-t-il pas de disjoncter à tord en utilisation normale

        Est-ce que ça vous inspire ?

        Répondre à ce message

        • Un disjoncteur me semble une solution un peu hasardeuse car il s’actionnerait (si tout va bien) quand une erreur est faite. Mieux vaut éviter l’erreur ! Pourquoi pas un interrupteur genre switch avec position 1 ou 2 ? Au moins on est sûr qu’un seul pilote est mis en marche à la fois (un exemple d’installation : http://sailingsalamander.blogspot.f...).
          Là où ça se complique, comme le dit lui-même l’auteur du blog ci-dessus, c’est que les capteurs angle et fluxgate sont connectés directement au SPX30 alors que le capteur EV1 du pilote Evolution passe par le réseau Seatalk NG : d’où possibilité d’infos contradictoires si on ne débranche pas totalement le système qui n’est pas mis en service.
          Et encore on n’évoque pas ici la commande de deux pompes hydrauliques séparées...

          Répondre à ce message

          • d’où possibilité d’infos contradictoires si on ne débranche pas totalement le système qui n’est pas mis en service

            C’est bien pour ça que j’évoquais aussi de croiser les jambes sur le pantalon tenu par une ceinture et des bretelles, si possibilité existe ... ça sera fait tôt ou tard, d’où l’idée de placer aussi une protection (1) juste avant ce qui entraine le cramage : détecter une situation aberrante par une conso trop élevé au niveau de la commande de barre. Ça n’exclue absolument pas la ceinture et les bretelles, c.a.d un inverseur d’alimentation des pilotes, ça double, simplement.

            Peut-être qu’un fusible serait plus judicieux qu’un disjoncteur mais le risque est surtout de déclenchement inopiné existe (nav dans un mer forte), donc sans doute un fusible suffisamment fort et suffisamment retardé pour qu’il crame juste avant le pilote. S’il crame de manière inopiné on regrettera alors de n,e pas avoir mis un disjoncteur. Ah, le beurre, l’argent du beurre, le sourire de la laitière ...

            1 : mais ça peut aussi être une détection, avec alarme sonore, de conso trop élevée, un déclenchement inopiné ne cassera que les oreilles, très réversible. Quelqu’un connaitrait-il un détecteur réglable en intensité de courant ?

            Répondre à ce message

  • 13 mars 2016 08:09, par Adrien.Pierre écrire     UP  image

    Euuuuh !

    Si je puis me permettre...

    J’ai en projet d’installer en pilote de secours un ST4000+ en parallèle à un SPX10 (équipé d’u, ST 6002 et un verin de type 1).

    L’idée c’est que avant l’installation en 2010 du SPX10, mon bateau (un voyage 12.50, d’environ 10 T) était déjà équipé de ce pilote (ST 4000+), que ca marchait pas dès qu’il y avait un peu de vent et de la grosse mer mais que ça marchait quand même un peu.

    L’idée est donc de réinstaller à demeure, en prévision d’un clash du SPX 10, le ST 4000+.

    A vous lire, j’ai l’impression que mon projet marchera pas !!! Auriez-vous une suggestion à me faire avant que je me lance dans la manip.

    Bien cordialement

    Philippe

    _

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