- Lex extincteurs mobile/maniable à CO2 s’entretiennent par simple pesée en comparant leur poids actuel au poid gracé sur la bouteille.
- Les extincteurs à poudre peuvent être à pression permanente (doté d’un mano de controle), ce sont les plus courants, moins chers à contruire mais la révision (le « reconditionnement ») à 5 ans coute autant qu’un neuf, je les évite.
- Les extincteurs à poudre dit « à pression auxiliaire » sont équipés d’une cartouche étanche de CO2 (une trentaine de gramme pour un 2 kg), cartouche percutée à l’utilisation et qui propulse la poudre. Je m’équipe exclusivement que de ce type là là même s’ils sont difficile à trouver à un prix abordable (j’accepte 20 € pour un 2kg)
Pour leur entretien, que j’ai toujours fait moi-même, je procède comme suit (lu quelque part autrefois) :
- je dévisse la tête (poignée de percussion et mécanisme percuteur)
- je dépose la cartouche vissée à l’intérieur de la tête, je compare son poids avec celui qui est gravé à l’aide de la balance à affranchir du bureau de poste local, je revisse.
- je vide le contenu du corps (la poudre) à travers un tamis pour casser les éventuels grumeaux et dé-tasser le tout
- je constate l’absence de rouille sur le corps, sinon : à la benne
- je reverse la poudre dans le le corps, tamis également
- je dépose le tube plastique solidaire de la tête et qui plonge dans la poudre, le secoue puis le repose
- je repose la tête (serrage raisonnable)
- je note la date sur le corps même si ça n’a aucune valeur réglementaire
- et tous les trois ans (ils deviennent alors formellement hors de service à défaut d’être entretenu annuellement un organisme doté d’un tampon ad-hoc) j’en approvisionne un nouveau, de plus, pour être formellement en règle
Je viens de repérer un document ici, plus formalisé et qui évoque les mêmes démarche (les joints en plus, la rouille en moins), au cas où des fois que.